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| En concert au Chabada le 3 février | 
Makan
 Il y a pour les oiseaux 
des maisons dans les ombres
 au sein des collines un désir d'écho
La rosée a la couleur de l'agonie
 jusqu'à l'éclipse
Les nuits ont des secrets qui voilent leurs griefs
Les compagnons de taverne ont leur vin
Et moi , j'ai ce qui reste (...)
(...) J'ai une route qui ne mène nulle part
J'ai un lieu qui est ma mélodie
C'est pourquoi je parcours le monde et je chante.
 Salman Masalha , poète  palestinien ( traduction Samira Negrouche )
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